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ville de vanves - Page 1074

  • VANVES SOUS LES TRAITS DE L’AQUARELLISTE MICHEL LARZILLIERE A L'ESPACE JEAN MONNET

    Les vanvéens ont jusqu’au 29 Avril pour découvrir les nouvelles aquarelles de Michel Larzillière, artiste vanvéen, à l’espace Jean Monnet : « Parce que j’en ai fais de nouvelles depuis mon livre en 2008 » indique t-il en jouant le guide dans les couloirs de cet espace de loisirs qu’il a découvert à l’occasion du vernissage d’une exposition d’une amie.  Les visiteurs peuvent découvrir le kiosque du parc F.Pic,  la place Jean Monnet avec sa stéle et ses mosaïques, la villa Dupont avec son petit cheminement piétonnier en  arrondi, le carrefour de la place de Lattre de Tassigny, la porte dite Henri IV dans son  nouvel environnement,  le manége sur la place de la République…

    « Je continue donc à faire des aquarelles sur Vanves d’autant plus qu’il a des choses qui ont changé … Je dessine une dizaine d’aquarelles sur Vanves chaque année, dont l’illustration de la carte de voeu d’Isabelle Debré ». Il apprécie beaucoup Vanves, parce qu’il y vit et qu’il a son atelier avenue du parc face au parc F.Pic. « Je m’y déplace toujours à pied, entre mon atelier et mon domicile situé entre le lycée Michelet et le parc des Expositions,  ce qui me permet de toujours découvrir quelque chose à Vanves, avec ses nouvelles et ses anciennes constructions, avec ses pavillons tant modernes qu’anciennes,  de nombreux espaces verts… J’ai découvert des tas de choses que les gens ne voient pas forcément comme le prieuré Saint Bathilde, parce qu’il faut pousser la porte,  le lycée Michelet avec son parc, parce que ce n’est pas ouvert, sauf pour les journées du patrimoine,  parce qu’ils ne lèvent pas la tête… et découvrent à travers mes aquarelles certaines richesses architecturales ou urbaines tout simplement. Certaines aquarelles sont historiques comme la place du Val avec ses gros arbres disparus, ou la place de la République avec l’ancien bâtiment qui accueillait les décors de la série policière Julie Lescaut, le marché à l’extérieur…. ». Il  dessine sur place ou il fait des croquis et s’aide de photos pour travailler  à l’atelier surtout lorsqu’il y a beacoup de détails. « Evidemment, j’aime beaucoup ce quartier du centre ancien, du parc, car j’y vis, plus que le Plateau avec ses constructions neuves qui a beaucoup moins d’attrait sur le plan artistique, historique, urbanistique ». Adhérent à l’association des Amis des  Arts de Vanves qui fait une exposition annuelle au printemps, Michel Larzilliére a réalisé 3 livres d’aquarelles sur Vanves,  Issy les Moulineaux, et les Ponts de Paris. Et il se pourrait bien qu'il en prévoit un quatrième, car il  s’intéresse maintenant au cimetière du Père Lachaise.

  • LE NOUVEAU MENU DES PLATANES A VANVES : PIZZA, TERROIR, COUSCOUS ET TABLEAUX D'ARTISTES A DEGUSTER

    Pas facile en ces temps qui courent de reprendre un commerce, et surtout un restaurant lorsqu’on était bien installé à Paris comme c’est le cas pour Djamel Kaski. Il a succédé aux Platanes à Eric Pottier depuis Septembre 2015.

    « Je bénéficie de plus d’espaces que dans mon précédent restaurant qui n’en avait que 28 dans le XVIéme proche du Conseil Economique et Social (CESE), rue Blanchon. Je recherchais un restaurant plus grand en me disant qu’avec 42 places, la cuisine sera à niveau, avec l’avantage d’être plus proche de mon domicile. Je connaissais Vanves de passage, des amis s’étant installés sur le Plateau » explique t-il. «L’objectif en reprenant ce restaurant était de faire le même concept que là bas, cuisine traditionnelle et pizzas. C’est le cas depuis 3 semaines, l’activité ayant  été longue à démarrer à cause  des travaux  (de carrelage et de faience) à faire dans la pièce à coté de la cuisine,  et installer le matériel nécessaire » explique ce spécialiste de la pizza : «  Je fais la différence avec la concurrence grâce  la pâte qui est  fine, croustillante, légére et permet à chacun de terminer sa pizza. On retrouve toutes les pizzas traditionnelles, avec la pizza des Platanes, à base de viande hachée, de pivrons, d’oignons et d’un oeuf , la Régina, l’Orientale et la calezzone… ».  Le bouche à oreille commence à fonctionner.  

    Ou sinon, c’est la cuisine traditionnelle française, blanquette, escalope…  avec chaque jour un  plat mijoté, un poisson et une grillade, avec le buffet hors d’œuvre à volonté. Et un couscous le vendredi midi et soir. « On ne fait que du frais ! » assure t-il. Djamel Kaski récupére petit à petit la clientème de proximité, des habitués, avec les équipes de tournage des studios d’Arte en face et du studio 49 un peu plus loin.  Comme dans certains restaurants, il a invité un artiste vanvéen, Amaury de Seyssel, à décorer les murs du restaurant par ses œuvres,  après en avoir discuté avec lui, ce qui suscite la curiosité et des questions de certains clients. « Après avoir passé 7 ans à Paris prés du CESE, du CNC etc… où il y avait évidemment plus de monde, pour moi, Vanves est vraiment un petit village, où les gens se connaissent »  constate t-il en étant conscient que « reprendre une affaire,  reconquérir et se faire  une clientèle, prend du temps !  Mais j’y arriverais en étant sérieux. Etre restaurateur aujourd’hui n’est pas facile du tout, car on sent partout une baisse d’activité, les clients ayant changé leur façon de consommer, beaucoup se rabattant sur les sandiwcheries car moins chères et plus rapides.  D’où l’idée de la pizza en donnant la possibilité de varier l’offre. Sans parler de  trouver le bon cuisinier et  de  le garder ! » reconnaît il. Mais il n’est pas le seul dans ce cas.

  • DES CHIFFRES ET DES FAITS A VANVES A PROPOS DES REFUGIES

    Certains participants au café Théo de samedi dernier dont le thème était consacré à l’accuel des réfugiés, étaient à la recherche des derniers concernant notamment la Région Ile de France. Afin de contribuer à une bonne information des vanvéens,le blog Vanves Au Quotidien fait état des derniers chiffres donnés par la préfecture de Région Ile de France.

    La préfecture de Région vient de faire un  bilan de sa participation au plan national de relocalisation des 120 000 réfugiés en précisant que son objectif est de fluidifier les dispositifs d’accueil des demandeurs d’asile.   Depuis le 2 Juin 2015, 18 opérations d’évacuation de campements à Paris ont été réalisés – dont la dernière le 30 Mars dernier  au métro  Stalingrad avec 985 migrants mis à l’abri -  avec 6453 propositions d’hébergement aux personnes concernées  dans l’un des 60 centres d’hébergement répartis en Ile de France : 3079 migrants sont toujours hébergés et font l’objet d’un accompagnement individualisé. 630 migrants dont la procédure d’asile était la plus aboutie, ont pu être orientés et hébergés vers des structures d’accueil dédiées à l’hébergement pérenne des demandeurs d’asile  (CADA ou HUDA). 131 réfugiés ont été orientés vers un logement. 670 départs volontaires ont été recensés dans les centres, s’agissant la plupart du temps de migrants en transit, cherchant à rejoindre d’autres pays que la France. 1305 migrants sont orientables vers le dispositif national d’accueil dédié aux demandeurs d’asile.

    Enfin, l’Ile de France  a accueillie prés de 500 réfugiés syriens et irakiens en provenance de Munich qui ont été hébergés dans 7 centres dont 3 parisiens. «A ce jour, 471 ont été relogés dont la majorité via le dispositif national proposant des logements dans les zones françaises « détendues », 16 réfugiés sont encore présents dans les centres d’hébergement et 37 étudiants ont été prise en charge par le CROUS de Paris et sont inscrits dans des cycles d’études » indique la Préfecture en précisant que les capacités d’hébergement pérennes pour les demandeurs d’asile en Ile de France  représentent 8 255 places d’hébergement d’urgence (CADA + hébergement d’urgence+ nuitées hôtelières) dont 3 838 à Paris, 3470 places en CADA seulement dont 438 à Paris. En sachant que le budget dédié à l’hébergement des demandeurs d’asile (centres d’hébergement + nuitées) se monte à 70 M€ pour l’Ile de France dont 32 M€ pour Paris.